Campodipietra - Immigration au Canada

Le premier Campopietrese a immigré à Montréal en 1890, fut Dominico Lombardi (selon les ouï-dire).

En 1905 trois jeunes agés entre 15 où 16 ans: Giovanni Francalangia, Vincenzo Cefaratti e Giuseppe Mancini (Peppucce Cosavecchia). après s’être enfuis au injustices du duca Japoce. Ils mirent pieds au Canada, et arrivèrent à bord d’un navire sur lequel ils s’étaient embarqués clandestinement.

À propos d’origines, cherchons de découvrir celles des noms de famille campopietresi qui même ici font partie désormais, de notre vie quotidienne.

Selon l’historien Francesco Rossi selon l’anagrafe de l’année 1522:
Francesco Rossi, Ioanne Petrecchia, Biase di Cristofano, Ioanne Del Conti, Ioanne de Pilla, Pascale De Maio, Jacopo de Cicco, Angelo de Mariano Ansaleo, Cero de Rugiero, Angelo de Benedicto, Stefano Mangino, Donato Colasanti, Vito Pascivento, Cola Maczarano, Antuono Pasciventre, Donato Mariano de Cola Rosa, Ioanne de Martino, Antuono Colasanti alias Pilla, Guglielmo Santarello, Alessandro detto Fauziello, Angelo di Domenico detto Grosso, Dominico detto Ciarlozzo, Pietro Scricca, Antuono Ciarufo, Antuono de Mastro Martino.

Avec les années il y a des noms de famille qui se sont transformés et d’autres qui se sont rajoutés.

En 1658: Porzia Cesarotto vedova Angeloni, Criscento di Criscento, Antonio d’Avirro, Domenico Ricciardo, Giuseppe di Micco, Carulo Barile, Maruccia Antonaccio, Francesca vedova di Gio di Luca, Iacono di Maio, Mariano Bruno, Iacopo Palmiero, Angelo d’Agata, Noè Pavento, Angela Rossi, Domenico Carlone, Angela Carlozzo, Paulo Cefaratti, Bernardino Carriero, Francesco Lamenta, Angela di Santo, Ioanne d’Agata alias Ritone, Carlo di Cocco, Giambattista Perrotta, Ippolita Chiovitto, Nardo Mancini, Don Cosmo Rossi, Rosa della Petrella, Donato d’Attellis marié à Domenica Ianitri et son frère Marco marié à Laura Lamenta.

Noms séculaires, et les noms de famille campopietrese bien populaires sont encore conservés et honorés ici outre-mer par toutes les vieilles et jeunes générations de ces familles.

PROFILS DES IMMIGRANTS
CAMPOPIETRESE

Elena Fiorillo

Parmi les Campopietresi résidant à Montréal à ce jour, la personne la plus âgée est Elena Fiorillo, née exactement le 12 juin 1922 à Montagano, dans la province de Campobasso, de Nunzia Muccino et Gaetano Fiorillo. Lui demandant comment elle avait rencontré son mari Domenico D'Attellis, elle répondit: "Mais je suis allée à Campodipietra parce que mon frère Giovanni y exerçait la profession de médecin! "; et le souvenir de ce bon médecin est toujours vivant jusque dans le cÅ“ur des compatriotes d'outre-mer.
Elena et Domenico se rencontrent donc à Campodipietra, ils s'aiment et en 1951 ils se marient, mais pas avec un lien d'union puisque Domenico doit partir pour le Canada et on ne savait pas comment cela finirait…! Pendant ce temps Domenico part à bord de la Ella, fait la transatlantique, vient s'installer à Montréal et en 1952 rappelle immédiatement Elena pour sceller leurs engagements de mari et femme qui les verront heureux ensemble pour toujours pendant des années et des années.
Malheureusement, la première grossesse d'Elena aboutit à la naissance d'une fille mort-née. cinq ans plus tard, cependant, la joie de la maternité anime leur foyer avec la naissance d'un enfant qui porte le nom de Nicola Paolo, qui devient naturellement la fierté et la joie de la mère Elena et du père Domenico. Après quelques années D'ingénierie, il a été admis à la faculté de médecine comme il l'avait toujours voulu, également pour honorer les traces de son oncle Giovanni.
Aujourd'hui, Nicola vit à Los Angeles où il est médecin chef adjoint du département MD D'Anesthésiologie de l'hôpital Cedarsinai; il est également directeur de l'éducation et de la recherche clinique et professeur, également d'anesthésiologie, à la David Gelford School of medicine. Il est à son tour père de deux garçons et d'une fille âgés de 37, 35 et 31 ans ; depuis la mort de Domenico en 1989, ils ne sont que la joie de grand-mère Elena. Lorsque j'ai rendu visite pour la première fois à Elena et Domenico, le cousin de ma femme Lina, au début des années 1970, je me souviens avec plaisir que, tout jeune, Nicola s'amusait à faire le show en reconstituant le Rubic's cube en un clin d'Å“il.
Elena, l'actuelle grand-mère des Campopietresi vivant à Montréal, a travaillé avec engagement et à la satisfaction des employeurs à la Barakett Press; mais surtout, avec son mari connu sous le nom de "l'enseignant", elle a apporté un soutien valable aux valeurs culturelles de la patrie à la fois en tant qu'énseignante à l'école de Pompéi et en tant que professeur de langue et de culture italiennes à l'école du samedi matin organisés par le PICAI. Permettez-moi de souligner qu'Elena est complètement autonome et qu'elle vit et fait tout par elle-même ; et elle est encore si claire d'esprit et de mémoire qu'elle m'a donné toutes ces informations personnellement au cours d'une agréable conversation de près d'une heure: et puis cela vaut la peine que Dieu la garde parmi nous encore de nombreuses années !

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